Blackout
2013
Mises en scène sommaires et spontanées visant à trouver une corrélation absurde et irrationnelle entre un modèle, un lieu et un accessoire.
Le modèle dépersonnalisé devient alors un corps sculptural. Implanté au milieu d’un décor, il devient anecdote et donne une signification conceptuelle à l’image.
Le black-out comme perte de mémoire, il devient énigme. Cette série s’apparenterait à la reconstitution d’une scène de crime avec pour seuls indices ce qui est présent dans l’image.
Que s’est-il passé? Que peut-on comprendre? Tout cela est-il rationnel?…
Chacun peut s’approprier la scène à sa manière, selon ses propres références et son vécu.
De ce fait, la compréhension de l’énigme et la conception de l’image deviennent alors personnelle. La libre interprétation ouvre les possibilités vers différentes lectures, selon ce qui aurait pu se produire avant et après l’acte photographique.
Acte photographique comme flash, flash comme seul résidu mémoriel de ce qu’il s’est passé.
Succinct and spontaneous stagings in order to find an absurd and senseless connection between a model, a place and an accessory.
The depersonalized model becomes a sculptural body. Set up in the middle of a scene, he becomes the meaning of a conceptual story.
Blackout like loss of memory, it becomes a riddle. This series will like the reconstitution of a crime scene with for only clue the elements in this staginess.
What’s happened? What can we understand? All this is rational?…
Anyone is able to see this story by his way, according to his own life and knowledge.
Thereby the understanding becomes something personal. With this free interpretation, each reading could be different because it depends to because it depends to what was going on before and after the photographic act.
Photographic act like a flash, flash like the only thing you can remember in the past.